Structures collaboratives

Le GIS Asie, ou groupement d'intérêt scientifique Études asiatiques, est un lieu de rassemblement, de concertation et d’initiatives de la communauté des études asiatiques françaises et belges. Il rassemble environ 1500 chercheurs, répartis dans 34 unités de recherche affiliées, qui dépendent de 25 établissements d'enseignement supérieur et de recherche.

CollEx-Persée réunit, sous la forme d’un groupement d’intérêt scientifique (GIS), 21 établissements de recherche (membres ou associés) et 4 opérateurs nationaux, la Bibliothèque nationale de France et une centaine de structures labellisées au titre de leurs collections d’excellence. Son objectif est de faciliter l’accès et de favoriser l’usage des collections de bibliothèques par les chercheurs.

Les établissements Paris 1 Panthéon-Sorbonne délégataires du CollEx-Persée :

• La bibliothèque interuniversitaire Cujas est délégataire du CollEx-Persée en sciences juridiques, labellisée pour ses collections en sciences juridiques, politiques et économiques. En savoir plus…
• La bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne (BIS) est délégataire du GIS CollEx-Persée dans quatre disciplines qui correspondent à ses thématiques d’excellence : histoire, philosophie, géographie et sciences de l’Antiquité. L’ensemble de ses fonds et ceux de la bibliothèque de géographie, qui lui est rattachée, ont été labellisés collections d’excellence. En savoir plus…
• L’Humathèque Condorcet, bibliothèque au service de la recherche, est délégataire du Collex-Persée sur un ensemble pluridisciplinaire intitulé « Sociétés et populations » regroupant la démographie, la sociologie et l’histoire sociale. En savoir plus…

Collections d’excellence des bibliothèques Paris 1 Panthéon-Sorbonne labellisées CollEx-Persée :

• Bibliothèque de l’Institut de recherche sur Byzance, l’Islam et la Méditerranée au Moyen Âge - UMR Orient & Méditerranée (UMR 8167). En savoir plus…
• Collections du Centre d’Économie de la Sorbonne (UMR 8174), (bibliothèque associée au Service Commun de la Documentation de Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Fonds documentaire de référence en sciences économiques et mathématiques appliquées. En savoir plus…
• Collections de la bibliothèque Cuzin (bibliothèque intégrée au Service Commun de la Documentation (SCD) de Paris 1 Panthéon-Sorbonne) qui couvrent toutes les disciplines : philosophie, logique, esthétique, sociologie. En savoir plus…
• Bibliothèque de l’Institut d’histoire de la Révolution française - UMR Institut d’histoire moderne et contemporaine IHMC (UMR 8066). En savoir plus…
• Fonds de la bibliothèque de recherches africaines : monographies, périodiques et archives de chercheurs - UMR Institut des mondes africains IMAF (UMR 8171). En savoir plus…
• Fonds de la bibliothèque Jean Maitron du Centre d'histoire sociale des mondes contemporains (UMR 8058), consacré à l’histoire sociale, de la Commune de Paris à nos jours. En savoir plus…
• Bibliothèque de l’Institut d'histoire et de philosophie des sciences et des techniques (UMR 8590). Fonds international de monographies et de périodiques spécialisés en histoire et philosophie des sciences et des techniques. En savoir plus...

Participation du public, décision, démocratie participative. Pour saisir les multiples formes de participation dans les expérimentations démocratiques qui foisonnent pour donner consistance aux transitions en cours, le GIS Démocratie et Participation prête attention, tout autant qu’aux transformations de l’action publique, à la production par l’action citoyenne d’alternatives sociales, économiques et politiques aux problèmes communs.

Héritier du Réseau Thématique Pluridisciplinaire Études africaines, le Groupement d’Intérêt Scientifique des études africaines en France a été créé afin de permettre une meilleure visibilité des études africaines en France et au-delà. Cette structure se veut un lien entre l’ensemble des laboratoires et des chercheurs de ce domaine, en particulier les chercheurs isolés dans des unités dont la thématique est différente. La mission du GIS est de visibiliser les études africaines en France en créant un espace d’échanges, de concertations et d’initiatives au sein de la communauté académique.

L’Euro-Lab est un réseau interdisciplinaire de recherche sur l’Union européenne. Il entend contribuer au développement, à la visibilité et à la diffusion des travaux dans le domaine des études européennes. Porté par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, le Groupement d'intérêt scientifique (GIS) Euro-Lab constitue un réseau de 27 établissements partenaires, qui engage plus de 70 unités de recherche en France.

Le GEMDEV est un réseau pluridisciplinaire et interuniversitaire de formations et d’équipes de recherche sur le développement et la mondialisation. Il rassemble des formations et des équipes de recherche de différentes universités. Créé dans la Région Ile-de-France, il est devenu un réseau national. Il est rattaché administrativement à l’Université Paris 8, est hébergé par l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sur le Campus Condorcet et est soutenu par le CIRAD et l’IRD.

Le Groupement d’Intérêt Scientifique Gestes (Groupe d’études sur le travail et la santé au travail) est un réseau scientifique interdisciplinaire dynamique sur les problématiques du travail et de la santé au travail dont le programme scientifique a été renouvelé en juillet 2021 pour un second mandat. Le Gestes soutient et valorise de nombreuses manifestations scientifiques, dans un esprit d’ouverture, notamment aux acteurs du monde du travail et au grand public.

Groupement d’intérêt scientifique (GIS) créé en 2007, l'Institut des Amériques fédère en France les études en sciences humaines et sociales sur les sociétés des Amériques. Il promeut un échange intellectuel au niveau national, européen et mondial sur les grandes problématiques de recherche touchant les Amériques, plus d'une vingtaine de disciplines sont concernées. Il travaille également en synergie avec les trois autres GIS études aréales (Études africaines, Asie, Moyen-orient et Mondes musulmans). ll est composé d'une cinquantaine d'établissements français d'enseignement supérieur et de recherche soit un peu plus de 1000 chercheuses et chercheurs et 250 unités de recherche.

Fondé en 2012 à l’initiative de l’Institut des Sciences Humaines et Sociales du CNRS, l’Institut du Genre est un Groupement d’Intérêt Scientifique (GIS) qui réunit une trentaine de partenaires institutionnels engagés dans la recherche sur le genre et les sexualités. Dédié à la coordination, à l’accueil scientifique et à la promotion de ces travaux en France et à l’international, l’Institut du Genre est hébergé par la Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord au Campus Condorcet, à Aubervilliers. L’Institut du Genre a comme objet la promotion des études de genre. Il structure, soutient et visibilise les recherches sur le genre et les sexualités menées en France.

Crée en 2005, l’ISC-PIF est une unité de service et de recherche du CNRS dédiée au développement interinstitutionnel et interdisciplinaire de la recherche sur les systèmes complexes. A la fois laboratoire de recherche, pépinière à projets, centre de ressources mutualisées, centre de conférences et espace de coworking académique, ce tiers-lieu scientifique met à disposition des chercheurs un environnement de recherche dynamique et des outils innovants basés sur le big data et le high performance computing. Reconnu par la Région Île-de-France comme un Domaine d’Intérêt Majeur (DIM) et soutenu par la Ville de Paris, il regroupe plusieurs partenaires institutionnels : CEA, EHESS, ESPCI, INRAE, IGN, Institut Curie, Institut Mines Télécom, MNHN, Université de Cergy-Pontoise, Université Paris Cité, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Sorbonne Université.

Le champ concerné par le GIS s’intéresse en priorité au Moyen-Orient et au Maghreb. Il comprend aussi les « mondes musulmans » : cette expression se réfère à une histoire et une culture communes, développées dans une vaste région qui s’étend du Maroc à l’Inde et à l’Asie du Sud-Est, en passant par l’Asie Centrale. Dans cette perspective, le GIS Moyen-Orient et mondes musulmans est rattaché administrativement, depuis le 1er septembre 2016, à l‘IISMM (Institut d’études de l’Islam et des sociétés du monde musulman UMS 2000) et reste partenaire des autres GIS Études aréales concernés : le GIS Asie et le GIS Études africaines. Le GIS regroupe près d’une quarantaine de centres de recherche français. Il est soutenu par le CNRS (INSHS) et par 22 universités et grandes écoles.

Dans un contexte contemporain où nombre de sociétés sont marquées par un réinvestissement du champ religieux, souvent en dehors des Églises classiques, une interrogation par l’ensemble de la société de ce qu’est le « fait religieux » et, en France du moins, une forte affirmation d’une volonté de laïcisation de l’espace public social, le développement d’une recherche de premier plan, visible au plan international et pluridisciplinaire est indispensable. La constitution d’un groupement d’intérêt scientifique visant la création d’un espace de collaboration, de dialogue et de travail en synergie entend répondre à ce besoin ». Le GIS Religions, qui regroupe 25 laboratoires français, belges et québécois, se propose de mener des actions selon les 6 axes de travail :

• Croyances, représentations et pratiques quotidiennes des acteurs sociaux ;
• Le rôle politique des religions ;
• Devenir des confessions et des pratiques religieuses dans un monde pluraliste et globalisé ;
• Croyances religieuses et dimensions économiques de la société ;
• Production et circulation des textes ;
• Les espaces du religieux.

Le RnMSH est un groupement d’intérêt scientifique (GIS) adossé à une unité d’appui et de recherche (UAR3603) dont les deux tutelles sont le CNRS et la Fondation Maison des Sciences de l’Homme (FMSH). Le RnMSH fédère actuellement 22 Maisons des Sciences de l’Homme (MSH), réparties sur la quasi-totalité du territoire national. Les actions du Réseau et des MSH sont articulées autour de quatre missions principales et tiennent compte du paysage institutionnel de chaque site : mission de déploiement-relai ; mission de mutualisation ; mission d’incubation ; mission de fédération.

Le Centre de recherche du château de Versailles a pour objet la recherche et la formation sur les lieux et expressions du pouvoir tels qu’ils sont représentés à Versailles et en Europe, principalement aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il ambitionne d’être un lieu de rencontre international et pluridisciplinaire, dans lequel se côtoient des chercheurs et des praticiens, et cherche à faire confluer les travaux concernant ses champs d’études, à susciter de nouvelles recherches et à en assurer la plus large diffusion. L’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne est membre associé du Centre de recherche du château de Versailles.

Le Centre Interdisciplinaire d’études et de Recherches sur l’Allemagne (CIERA) est une communauté de recherche interdisciplinaire, franco-allemande et internationale. Il rassemble douze établissements français d’enseignement supérieur et de recherche parmi les plus prestigieux au sein d’un groupement d’intérêt public (GIP). Le Centre favorise et soutient la coopération scientifique entre la France et l’Allemagne. Basé à Paris, ses activités se déploient en France (principalement dans la région Île-de-France, Grand Est et Rhône-Alpes), en Allemagne et au-delà.

Le GDR « Arctique : Enjeux pour l’Environnement et les Sociétés »  a pour objectif de fédérer, de rendre visible et de favoriser le développement de la recherche scientifique dans les régions arctiques et subarctiques. Ses travaux se focalisent sur la question des milieux, des écosystèmes et des sociétés arctiques et sub-arctiques face aux changements globaux.  Ces changements peuvent être d’origine climatique, politique ou encore économique. L’évolution des socio-écosystèmes est abordée sur le temps long (de la Préhistoire à nos jours).

Le GDR rassemble une cinquantaine de chercheurs et de doctorants travaillant en environnement, en sciences de l’homme et de la société, en sciences de la vie et de la Terre. Il est piloté par deux chercheuses de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Emmanuèle Gautier et Claire Alix, et d'une chercheuse de l'université de Nantes, Armelle Decaulne.

Le GDR 2032 ClimaLex, soutenu par l’Institut national des sciences humaines et sociales du CNRS, a pour objectif dans une approche interdisciplinaire d’interroger le droit au regard des changements climatiques. Le GDR réunit une communauté de chercheurs, enseignants-chercheurs et doctorants regroupant 14 équipes et unités de recherche repartis en différentes universités et centres de recherche sur toute la France. Il compte également des personnalités scientifiques rattachées à d’autres institutions de recherche et à des universités étrangères. Le noyau dur du groupement se trouve à l'Institut des sciences juridique et philosophique de la Sorbonne (ISJPS) UMR 8103 de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

ClimaLex a pour mission de créer des synergies nouvelles entre le droit, les autres disciplines des SHS et les sciences dures – notamment les sciences de la nature et la climatologie – afin d’établir un dialogue tout autant fructueux que nécessaire entre les différentes sciences. Son objectif est la construction d’une véritable plateforme interdisciplinaire de savoir et de promouvoir l’émergence de sujets prioritaires sur lesquels le monde de la recherche, le législateur et les décideurs politiques (aux niveaux national, territorial et local) doivent agir de manière urgente.

Le GDR Connaissance de l’Europe médiane s’inscrit dans le champ des études aréales, il développe une approche pluridisciplinaire : sa valeur ajoutée porte sur la réflexion critique des concepts, démarches et méthodes. Le GDR est attentif à prendre en compte la dynamique des interactions entre aires régionales (Europe et monde post-soviétique) : il a veillé à intégrer dans son champ l’Ukraine et les régions d’Europe médiane intégrées à l’Union Européenne à la fois dans le travail sur l’actualité et dans les recherches à dimension historique. Il répond à une demande sociale de connaissance pour penser l’avenir de l’Europe concernant les enjeux de mémoire, l’illibéralisme, la crise de la démocratie par exemple.

Le GDR a pour vocation de structurer le champs des recherches sur l’Europe médiane dans une approche interdisciplinaire de SHS autour de deux axes :

• Écriture de l’Histoire, de l’espace et des sociétés ;
• Expérience, politique, pratiques.

Constitué en 2010, le Collège international des sciences territoriales (FR2007 CIST) est une fédération de recherche avec 7 tutelles principales (CNRS, universités Paris Cité, Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Grenoble Alpes, de Rouen Normandie, Ined et IRD). Le CIST s’appuie sur 27 équipes de recherche françaises pour mener à bien ses projets. Il a pour objectif de contribuer à formaliser et organiser ce champ interdisciplinaire, à une échelle française et internationale notamment européenne, de fédérer les unités de recherche dédiées au territoire, de renforcer le réseau national des équipes qui le composent, de renforcer leurs synergies (thématiques, méthodologie, équipements et bases de données, réponses aux appels d’offre, événements de diffusion et de valorisation de la recherche…) et de développer l’interface recherche-formation (organisation d’université thématique sur les outils et méthodes des sciences des territoires avec l’Afrique francophone subsaharienne, participation à des universités numériques thématiques sur les sciences de l’information géographiques...).

La Fédération S2CH est administrée par le CNRS en partenariat avec l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’École d’Économie de Paris et l’Université Paris Nanterre. Elle bénéficie des services de la TGIR Huma Num. Elle promeut des recherches touchant aux comportements humains, à l’intersection entre économie comportementale, psychologie de la cognition, sciences du langage et ouvre l’accès à un réseau de plateformes diversifiées à tous les chercheurs intéressés pour réaliser des recherches expérimentales sur l’humain.  Expériences individuelles, collectives, en présentiel ou en ligne, avec du matériel de recueil de données physiologiques y sont possibles. Ces équipements expérimentaux ont été financés par la région Ile de France.

La Fédération de Recherche (FR-3020) FIRE créée en janvier 2007, a pour vocation essentielle de promouvoir la recherche interdisciplinaire dans le domaine des sciences de l’environnement. Son projet fédératif concerne principalement des travaux de recherche relevant des surfaces continentales (bassins versants et réseaux hydrographiques, lacs et réservoirs, parcelles agricoles et forêts, petites régions agricoles, paysage) et de leurs interfaces avec les eaux souterraines sous-jacentes, les zones marines côtières et l’atmosphère. Avec 21 laboratoires engagés, la FIRE permet une convergence de compétences et de moyens de recherche unique à l’échelle régionale en sciences de l’environnement.

Son projet fédératif se structure selon trois axes majeurs :

• Fonctionnement physique, biogéochimique et biologique des écosystèmes et services écosystémiques ;
• Interactions des systèmes sociaux et écologiques ;
• Analyse de la dynamique des systèmes socio-écologiques.

La Fédération Parisienne de Modélisation Mathématique (FP2M) a été créée le premier janvier 2020. Cette fédération de recherche du CNRS (FR2036) regroupe trois unités de recherche: le MAP5, MODAL'X et SAMM (Statistique, Analyse et Modélisation Multidisciplinaire / EA 4543) qui est l'équipe de recherche en mathématiques et informatique de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Le rôle majeur de la FP2M est de favoriser l'émergence et la poursuite de collaborations entre les membres de ces trois unités de recherche sur des thèmes relevant des mathématiques appliquées et de leurs applications.

Le GRAM est une structure labellisée et financée par le CNRS. Il est hébergé par le CERI et composé de dix partenaires : CASE à l’INALCO ; Centre Emile Durkheim à Sciences Po Bordeaux ; Centre Michel de L’Hospital à l’université Clermont Auvergne ; CERAPS à l’université de Lille 2 ; CRDT à l’université Reims Champagne Ardenne ; CRESPPA à l’université Paris 8 ; IREDIES à Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; La SSP à Sciences Po Toulouse ; PACTE à Grenoble ; Printemps à l’université Paris Saclay.

Une dynamique de recherche collective sur le multilatéralisme a été soutenue il y a quelques années par l’Association française de science politique (AFSP) sous la forme d’un groupe de projet qui a réuni pendant cinq ans plus de trente chercheuses et chercheurs de différents statuts, disciplines et institutions françaises et internationales, révélant l’existence d’un fort potentiel dans ce domaine de recherche. Cette expérience a favorisé la mise en place d’un dialogue pluridisciplinaire au sein d'un Groupement de recherche sur l’action multilatérale.

L'objectif des10 « Instituts Convergences » créés en 2016 et 2017 par le 2e Programme des Investissements d’avenir, est de fédérer des efforts de recherche jusque-là dispersés, en mobilisant sur une question-clef environ 600 chercheurs de plusieurs institutions pour croiser les disciplines et bâtir une formation originale. L’Institut Convergences Migrations (IC Migrations) est le seul institut de ce type qui associe sciences sociales, sciences humaines et sciences de la santé.

Un objectif majeur de l’IC Migrations est le dialogue science-société à travers deux types d’actions : l’éclairage critique de l’actualité grâce à la revue en ligne De facto et un partenariat diversifié avec les acteurs locaux (élus, associations, enseignants, personnel médical et social).

Le Laboratoire d’Excellence Création, Arts et Patrimoines (CAP), est issu d’une collaboration entre 17 laboratoires universitaires et d’enseignement supérieur (émanant de : l’EHESS, l’EPHE, le CNAM, l’ENC, l’ENSCI, l’ESCP Europe, l’ENSAPLV, l’INHA, l’INP, l’IRCAM, le LCPI ParisTech, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) et 8 établissements patrimoniaux et muséaux (BnF, Musée du Louvre, Centre Pompidou, musée du quai Branly, Musée des Arts Décoratifs, Musée des Arts et Métiers, Sèvres – Cité de la céramique, La Cité de l’architecture et du patrimoine).

À la fois observatoire et laboratoire expérimental, le Labex CAP étudie les arts, la création et les patrimoines et les prend comme points d’appui pour comprendre et accompagner les mutations de la société contemporaine, connectées à la mondialisation de la vie économique et des moyens de communications mais aussi des cultures. Il mobilise des compétences scientifiques variées, dans les domaines des théories esthétiques et de la philosophie de l’art, de l’histoire de l’art, de l’architecture et du patrimoine, des études musicales, de la poétique, de l’anthropologie culturelle, de la sociologie de l’art, de l’histoire des techniques mais aussi des techniques de communication et d’information, du design, de la conservation et de la restauration.

Lancé en Avril 2012, le Laboratoire d’Excellence « Dynamiques Territoriales et Spatiales », ou LabEx DynamiTe, s’intéresse aux effets de la globalisation sur les espaces et les sociétés, ainsi que sur les enjeux du développement durable et du changement global. Il regroupe des laboratoires de recherche de haut niveau dans les domaines de la géographie, de l’aménagement, de l’urbanisme, de l’histoire, de l’archéologie, de la sociologie, de l’anthropologie, de l’économie, du droit et de la philosophie. Ses chercheurs et chercheuses ont pour ambition de faire fructifier les apports respectifs de leurs différents champs disciplinaires autour d’un objet commun : les territoires. Le LabEx fédère 20 laboratoires, et regroupe environ 500 enseignants-chercheurs, chercheurs, doctorants et post-doctorants.

Le LabEx HaStec a été lancé en avril 2011 par  ses membres fondateurs : l’École Pratique des Hautes Etudes (EPHE) ; l’École Normale Supérieure (ENS) le Collège de France ; l’École des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) ; l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; l’École Nationale des Chartes (ENC) ; le Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) ; l’École Supérieure de Commerce de Paris-Europe (ESCP Europe) ; les Archives Nationales (AN) ; l’EPCS Campus Condorcet et le Centre Nationale de la Recherche Scientifique (CNRS).

Le LabEx étudie, de façon pluridisciplinaire, l’entrelacs historique des Savoirs, des techniques et des Croyances – élément structurant des cultures et des sociétés humaines – selon un arc chronologique qui s’étend de l’Antiquité au XXIe siècle. Chacun de ces trois termes est entendu selon une polysémie réglée, qui dépasse les limites de l’histoire des sciences et des techniques, ou de l’histoire des religions, et intègre la pluralité des savoirs, les divers modes de croyance (y compris dans le domaine économique), et déploie les sens du mot « technique » selon un spectre vaste qui comprend aussi bien la rhétorique que les techniques intellectuelles (argumentatives, exégétiques) et spirituelles.

Une attention particulière est portée aux soutiens aux jeunes chercheurs (doctorants et postdoctorants) et aux humanités numériques. Le LabEx Hastec rassemble 21 laboratoires et regroupe plus de 325 chercheurs et enseignants chercheurs. Le financement des 18 doctorants, des 76 post-doctorants et des 12 bourses « Fernand Braudel – IFER » figure parmi les priorités du LabEx Hastec en termes de soutien à la recherche.

Porté par l’Institut national d'études démographiques (Ined) en partenariat avec l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’université Paris Descartes, l’université de Bordeaux, l’université de Strasbourg, l’université Paris Nanterre et le Campus Condorcet, le Labex iPOPs entend se placer au cœur de la recherche et de la formation en sciences de la population et ouvrir ses recherches aux mondes économique, social et politique. Les transformations des sociétés développées font apparaître de nouvelles questions auxquelles la recherche en démographie, dans une perspective interdisciplinaire, est à même d’apporter des éclairages indispensables. Le projet scientifique du laboratoire d’excellence iPOPs est de rendre compte et d’interpréter les changements actuels par l’étude des corrélations entre dynamiques familiales, modifications du marché du travail, transformations des relations intergénérationnelles, évolution de la santé et vieillissement des populations.

Le Labex OSE, coordonné par PSE-Ecole d’économie de Paris, associait de nombreux partenaires : deux UMR (Centre d’économie de la Sorbonneet Paris-Jourdan Science Economiques) ; l’unité « démographique économique » de l’ Institut national d'études démographiques (Ined) ; trois centres de recherche indépendants : le CEPII (Centre d’études prospectives et d’informations internationales), le Cepremap (Centre pour la recherche économique et ses applications), et le J-PAL Europe, filiale européenne du Poverty Action Lab (MIT). Il se propose de relever les défis adressés au paradigme central de la discipline économique dans les domaines d’expertise de ses partenaires. Depuis octobre 2017, ce LabEx a été intégré au nouveau projet Écoles Universitaires de Recherche - Paris Graduate School of Economics.

Le laboratoire d'excellence Les passés dans le présent (Labex PasP) est un programme de recherche interdisciplinaire en sciences humaines et sociales portant sur la présence du passé dans la société contemporaine. Il est porté par l’Université Paris Nanterre. L’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en est l’un partenaire. En associant des institutions culturelles de premier plan, il s’attache plus spécifiquement à comprendre les médiations de l’histoire à l’ère du numérique, les politiques de mémoire, ainsi que les appropriations sociales du passé en amont et en aval des politiques patrimoniales. Les équipes de recherche et institutions patrimoniales partenaires et associées conduisent une centaine de projets de recherche et de recherche-action, qui mobilisent, près de 300 enseignants-chercheurs, chercheurs, conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, ingénieurs et de nombreux collaborateurs contractuels, qu’ils soient postdoctorants, doctorants ou étudiants de master.

Le laboratoire d'excellence en régulation financière (LabEx ReFi) est un centre de recherche français voué à l’évaluation des politiques de régulation financière. Il a été constitué à l’initiative du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), de l’École nationale d'administration (ENA), de l’université Paris 1 Panthéon Sorbonne et d’ESCP Business School. Le LabEx ReFi est un centre de recherche voué à l’évaluation des politiques de régulation. Il vise d’une part à faire progresser la connaissance du fonctionnement des systèmes financiers et de leur régulation et d’autre part, à “conseiller” et “guider” en toute indépendance l’action des pouvoirs publics dans la mise en œuvre des politiques de régulation en apportant une expertise académique. Le Labex ReFi est un laboratoire pluridisciplinaire où cohabitent des spécialistes en économie, en comptabilité, en finance et gestion, en mathématiques financières et en droit, issus de plusieurs institutions. Toutes ces disciplines s’intéressent à la régulation mais sous des angles différents, avec des outils, des langages et des systèmes d’incitations et d’évaluation qui leur sont propres. Un des objectifs du Labex ReFi est d’amener des chercheurs de ce divers horizons à produire ensemble des travaux de recherche « utiles » à la mise en œuvre des politiques de régulation.

Le LabEx Tepsis est composé de 15 laboratoires de sciences sociales, du Centre de Recherche de l’ENA et du Centre de formation des Journalistes (CFJ). Réunissant plus de 300 chercheurs issus de différentes disciplines – sociologie, science politique, histoire, économie, anthropologie, philosophie politique, histoire des idées – et différentes aires culturelles – Europe, Mondes Américains, Mondes Russes, Mondes Turcs et Ottoman, Afrique – qui ont été rejoints depuis octobre 2016 par les chercheurs du centre Chine, Japon, Corée. Partant de l’exploration historique, sociologique et philosophique de la diversité des modes d’intervention du politique dans la Cité et dans l’espace des sociétés, les approches multidisciplinaires du LabEx relient l’analyse des modes de gouvernement des sociétés modernes et contemporaines, et celle des pratiques sociales qui transforment les formes d’organisation et de régulation des activités humaines. Les thématiques abordées par le LabEx se regroupent autour de trois grands axes de recherche : les transformations de l’État ; la politisation des sociétés et l’institution du social.

La Maison des Sciences de l’Homme Mondes est une unité d’appui et de recherche (UAR 3225) ayant pour tutelles le CNRS, l’université Paris Nanterre et l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle réunit une grande diversité de chercheurs issus de diverses disciplines des SHS : archéologie, préhistoire et protohistoire, ethnologie, anthropologie, sociologie comparative, histoire ancienne et médiévale et désormais géographie et sciences politiques. Elle est un lieu de rencontre original, articulant recherche, formation et savoir-faire techniques. La MSH met à disposition des instruments et des services aux compétences techniques et scientifiques de haut niveau, relatifs à l’archivage, aux bibliothèques, aux données quantitatives et bases de données, à l’édition, aux humanités numériques, à l’image animée ou fixe, à l’ingénierie documentaire, à la microscopie et l’imagerie scientifique. Elle est implantée sur le campus de l'université Paris-Nanterre.

L’archéologie dans le présent : les défis globaux à la lumière du passé. L’École Universitaire de Recherche ArchaeoChallenges (EUR ArChal) est  portée par l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et soutenue par sept institutions partenaires : le Centre National de la Recherche (France) ; Freie Universität Berlin (Allemagne) ; Universidad Complutense Madrid (Espagne) ; Alma Mater Studiorum – Università di Bologna (Italie) ; l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales – INALCO (France) ; l'Institut National de Recherches Archéologiques préventives - INRAP (France ) ; le Musée d’Archéologie nationale Domaine national Saint-Germain en Laye - MAN (France ).

L’EUR a trois objectifs :

• Proposer une formation innovante aux méthodes et techniques de pointe en archéologie.
• Développer des projets d’enseignement et de recherche originaux (masters, thèses, projets scientifiques) sur des thématiques liées aux défis globaux actuels.
• Renforcer grâce à cette double approche la professionnalisation des étudiants.

L’École des Hautes Études en Démographie (École HED) est une École Universitaire de Recherche (EUR) portée par l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l’Institut national d’études démographiques (Ined), et soutenue par six universités partenaires, huit écoles doctorales et dix unités de recherche. Elle est lauréate du Programme Investissements d’Avenir relatif aux EUR sous le label EUR REDPOP. Sur le modèle des graduate schools, l’École HED met en place une nouvelle approche de formation à la recherche, dès le master.
L’objectif est de promouvoir en France le modèle des graduate schools en associant universités et organismes de recherche et en consolidant les liens avec les acteurs économiques. Ce modèle vise à renforcer l’approche recherche au sein des formations à partir du master et à favoriser la lisibilité des filières à l’international en créant un continuum entre master, doctorat et insertion professionnelle.

L’École des Hautes Études en Démographie repose sur la mise en place d’un maillage national de formations - cours et projets de recherche - destinées aux étudiants en masters et doctorats. Réunissant les acteurs français les plus importants de la recherche en démographie, il propose aux étudiants l’expertise méthodologique et thématique des partenaires du projet.

L’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne participe à l’EUR PgSE (Paris Graduate School of Economics), coordonnée par PSE-Ecole d’Economie de Paris. PgSE s’appuie sur l’expérience acquise avec le Labex « OSE – Ouvrir la Science Economique » et se propose d’en étoffer fortement les activités et potentialités : développement d’un parcours graduate - master et doctorat - en économie de niveau mondial, amplification et diversification des ambitions scientifiques - méthodes, objets, données - , approfondissement des échanges avec d’autres disciplines, le tout en associant pleinement les institutions fondatrices, les laboratoires et les partenaires.

PgSE est organisé en groupes thématiques associant chercheurs et doctorants : Développement ; Économie comportementale ; Gouvernance ; Économie Politique, Commerce ; Histoire économique ; Macroéconomie ; Régulation et environnement ; Théorie économique ; Travail et économie publique.

Le consortium-HN pictorIA est dédié à l’analyse de corpus visuels numériques en sciences humaines et sociales par le biais d’outils d’intelligence artificielle. Porté par la Maison des Sciences de l’Homme Mondes, et s’inscrivant dans la continuité des initiatives du Labex Les Passés dans le Présent, pictorIA vise à fédérer les recherches interdisciplinaires autour de la reconnaissance automatique des formes en SHS. À travers la création de tutoriels, l’élaboration de protocoles partagés, l’organisation de formations et d’ateliers, ainsi que le développement de prototypes et de preuves de concept, pictorIA cherche à améliorer l’accessibilité, l’interconnexion et l’enrichissement des corpus visuels en histoire de l’art, archéologie, sociologie, anthropologie, études culturelles, information et communication, histoire de l’architecture et autres disciplines.